Au regard de ce que j’observe en Afrique du Sud, notamment dans les quartiers huppés, habités en majorité par les blancs, zones les plus touchées, et dans les townships de noirs, moins atteints.
Au regard de ce qui est observé dans la partie subsaharienne du continent en général, ou le cataclysme annoncé, n’est pas au rendez-vous, au même stade d’arrivée de la pandémie qu’en Europe.
Me rappelant les nombreuses lectures récemment faites, témoignants de la résistance naturelle des descendants d’esclaves noirs par rapport aux indiens et aux blancs, dans les îles françaises et anglaises des Caraïbes durant la pandémie mondiale de grippe H1N1.
Considérant que durant la grippe espagnole, on a formé en urgence aux États-Unis, des infirmières noires parce que plus résistantes au virus, et par insuffisance de personnel blanc, nombre d’entre eux ayant été infectés dès les premiers mois.
On est droit de se poser des questions sur l’éventuelle système immunitaire des NOIRS AFRICAINS, VIVANT DANS L’ENVIRONNEMENT NATUREL AFRICAIN HOSTILE, qui serait au fil des siècles, devenu plus résistant que celui des autres races, face à la grippe en général.
On est juste en droit de se poser cette question légitime. Oui, on a le droit ! Mais hélas, dans le doute et dans l’attente de validation par les scientifiques occidentaux, de ces théories que certains trouveront loufoques, la meilleure chose à faire c’est de respecter les mesures barrières.
Illustration : 1918, jeunes femmes noires aux États-Unis sorties des champs de canne à sucre et formées à la va-vite, pour remplacer le personnel blanc malade, durant la pandémie de grippe espagnole aux États-Unis ( 549 000 décès, premier pays touché ).
Nota : svp lire ce qui est écrit en majuscule avant de parler du cas de noirs américains.